16 octobre 2008
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Tout se complique. Il y a d’abord cette Halle de la Charpenterie, défigurée par l’obstination grouardienne et dont l’avenir immédiat semble compromis.
Il se dit de plus en plus fort en effet, que, suite à l’annulation, par le Conseil d’Etat, de l’autorisation d’implantation d’un hypermarché Leclerc à la Chapelle Saint-Mesmin, le patron orléanais du grand distributeur ne serait plus très chaud pour installer un espace culturel place de la Loire. Ce qui, évidemment, bloque l’ensemble du
projet.
Ensuite, juste en face, accroché à l’est du jardin de la Charpenterie, un bâtiment flambant neuf a été construit qui devait, dans un premier temps, accueillir un espace public dédié aux nouvelles technologies de l’information. Mais comme il fallait bien redonner un toit au chef étoilé Philippe Bardau pour cause de destruction des Antiquaires et du Next Door (dans la cadre de la restructuration du quartier), la mairie a proposé au cuisinier orléanais de se réinstaller dans deux endroits proches : le Jardin de la Charpenterie donc, et, en contrebas du quai du Châtelet, rue de la Pierre-Percée, dans la somptueuse « Maison de la Coquille » (vous suivez ?). Mais là aussi, ça coince. Un conflit opposant le propriétaire de cette bâtisse du XVIe siècle à l’entrepreneur chargé de la rénover, Philippe Bardeau aurait pour l’instant tout mis en stand-by.
Incapacité. Après le départ de Bouchara de la place du Châtelet, tout cela fait vraiment très désordre, s’agissant d’un projet qui se voulait être une vitrine d’Orléans et de la politique de rénovation conduite par Serge Grouard.
Cette saga de la Charpenterie prouve une fois de plus l’incapacité de cette municipalité – très à l’aise en revanche pour communiquer - à mener concrètement à bien des projets de grande envergure. En cette matière comme d’en d’autres, « rien n’est simple » il est vrai. Mais là, vraiment « tout se complique » (Sempé).
Ensuite, juste en face, accroché à l’est du jardin de la Charpenterie, un bâtiment flambant neuf a été construit qui devait, dans un premier temps, accueillir un espace public dédié aux nouvelles technologies de l’information. Mais comme il fallait bien redonner un toit au chef étoilé Philippe Bardau pour cause de destruction des Antiquaires et du Next Door (dans la cadre de la restructuration du quartier), la mairie a proposé au cuisinier orléanais de se réinstaller dans deux endroits proches : le Jardin de la Charpenterie donc, et, en contrebas du quai du Châtelet, rue de la Pierre-Percée, dans la somptueuse « Maison de la Coquille » (vous suivez ?). Mais là aussi, ça coince. Un conflit opposant le propriétaire de cette bâtisse du XVIe siècle à l’entrepreneur chargé de la rénover, Philippe Bardeau aurait pour l’instant tout mis en stand-by.
Incapacité. Après le départ de Bouchara de la place du Châtelet, tout cela fait vraiment très désordre, s’agissant d’un projet qui se voulait être une vitrine d’Orléans et de la politique de rénovation conduite par Serge Grouard.
Cette saga de la Charpenterie prouve une fois de plus l’incapacité de cette municipalité – très à l’aise en revanche pour communiquer - à mener concrètement à bien des projets de grande envergure. En cette matière comme d’en d’autres, « rien n’est simple » il est vrai. Mais là, vraiment « tout se complique » (Sempé).