11 janvier 2008
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« Si j’ai un chef, c’est la chef qui commande et je répondrai ensuite avec plaisir ». C’est, en résumé, la «
ligne politique » de Marie-Thérèse Pilet Duchâteau, probable transfuge de l’équipe de Jean-Pierre Sueur vers la liste de Serge Grouard. L’ancienne adjointe radicale de gauche avait adhéré au Parti
socialiste en 2002, ralliant même le très à gauche courant du « Nouveau parti socialiste » (NPS). Ce qui ne l’a pas empêchée, apprend-on aussi et avec stupeur dans La République du
Centre du 11 janvier, de « voter blanc » lors de la présidentielle de 2007, alors que son courant était très engagé aux côtés de Ségolène Royal. L’ambition personnelle a ses raisons
que la raison et l’éthique politique ignorent.
Marie-Thérèse Pilet Duchâteau ne supportait sans doute pas l'idée de ne plus être conseillère municipale, Jean-Pierre Sueur ayant décidé de repartir en campagne avec, à ses côtés, une équipe très largement renouvelée. Déjà, en 2004, alors que des "piliers" de l'équipe Sueur (Delport, Renard, Prost, Bénozio) avaient décidé de laisser la place à des plus jeunes et nouveaux venus, elle s'était accrochée à son siège.
Marie-Thérèse Pilet Duchâteau ne supportait sans doute pas l'idée de ne plus être conseillère municipale, Jean-Pierre Sueur ayant décidé de repartir en campagne avec, à ses côtés, une équipe très largement renouvelée. Déjà, en 2004, alors que des "piliers" de l'équipe Sueur (Delport, Renard, Prost, Bénozio) avaient décidé de laisser la place à des plus jeunes et nouveaux venus, elle s'était accrochée à son siège.